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La génération d’énergie propre est maintenant possible grâce à une puce nouvellement conçue

L’un des nombreux problèmes auxquels nous sommes actuellement confrontés est le manque de carburant. Les scientifiques sont déjà derrière tout cela, et c’est un problème majeur auquel nous sommes confrontés en ce moment. Mais à l’heure actuelle, il ne s’agit pas seulement de trouver des combustibles, mais de trouver des solutions de rechange abondantes et renouvelables aux combustibles fossiles.

Eh bien, les scientifiques sont sur le terrain depuis un certain temps et il semble qu’ils aient trouvé une solution. Les scientifiques ont produit de l’hydrogène pour les piles à combustible par photosynthèse artificielle. Alors pourquoi c’est spécial ? Eh bien, ce carburant particulier a la capacité de diviser l’eau en hydrogène et en oxygène.

Nouvelle technologie

L’équipe a créé un dispositif de photosynthèse artificielle appelé cellule photoélectrochimique et voltaïque hybride. Alors qu’est-ce que ça fait ? Cela transforme la lumière du soleil et l’eau en hydrogène et en électricité. Selon les propres termes du propriétaire, il s’agit d’une source d’énergie qui pourrait être récoltée, et c’est une grande bénédiction car toutes les autres formes d’énergie doivent être collectées ou fertilisées.

Il ne s’agit pas d’une nouvelle technologie, mais la méthode qui la sous-tend a été considérablement modifiée. Les procédés et méthodes traditionnels ont eu du mal à utiliser les propriétés optiques, électroniques et chimiques d’une manière qui rend cette méthode efficace, mais les résultats finaux ont toujours été un peu vagues.

Mais pourquoi stocker de l’énergie supplémentaire dans les batteries au lieu de produire de l’hydrogène ? Eh bien, les batteries sont chères, et les puces de carburant ne sont pas bon marché non plus. La production d’hydrogène est donc un élément clé de cette nouvelle méthode.

Unique et remplaçable

Alors, que comprend ce nouveau processus ? La solution derrière ce nouveau procédé est de simplement libérer ces électrons. Maintenant, pour aider dans la mesure où l’entreprise a ajouté un composant en silicium dans l’appareil. Maintenant, cette puce divise le courant produit par l’énergie solaire, ce qui permet à une partie du courant de diviser l’eau en hydrogène et en oxygène.

La méthode précédente avait un rendement de 6,8 %. Mais ce nouveau procédé a un rendement combiné de 20,2 %. Aujourd’hui, l’équipe a l’intention de continuer à améliorer l’appareil et de l’utiliser dans des utilisations ou des applications du monde réel.